Les Vulves assassines, ça hurle, ça rappe, ça pue et ça laisse Booba sur le bord de la route comme un enfant de chœur paumé. Les Vulves assassines, c’est aussi l’espoir d’un monde meilleur, plus juste, un monde où Pierre Gattaz élèverait tranquillement des chèvres dans le Larzac au lieu de nous pourrir la vie.